Tu veux régler les vrais problèmes dans ton entreprise ?
Arrête de foncer.
Commence à penser.
74 % des problèmes qu’on “résout” en entreprise…
reviennent quelques semaines plus tard.
Pourquoi ?
Parce qu’on traite les symptômes.
Pas les causes.
Les meilleurs dirigeants ne vont pas plus vite.
Ils vont plus juste.
Parce qu’un mauvais problème bien résolu…
reste un mauvais problème.
Alors voici 5 modèles mentaux que j’utilise avec mes clients dirigeants,
dans les moments critiques : lancements, recrutements, pivots, décisions à 6 chiffres.
🔸 1. L’analyse pré-mortem
« Et si ça échouait… pourquoi ? »
On ne planifie pas que pour réussir.
On planifie pour éviter d’échouer.
Avant chaque lancement ou recrutement clé,
je demande : « Qu’est-ce qui pourrait tout faire capoter ? »
Et on agit en amont.
🔸 2. La méthode des 5 pourquoi
Creuse. Encore. Encore.
La plupart des entreprises s’arrêtent au premier “pourquoi”.
Mais c’est au 5e qu’on touche la racine.
Pas la douleur… la cause.
🔸 3. L’arbre décisionnel
Cartographie tes options. Visualise les conséquences.
Quand une décision implique des humains, de l’argent ou de la réputation :
tu ne paries pas. Tu modélises.
🔸 4. SWOT express
Ce que je fais en offsite ou quand tout part en vrille :
• Qu’est-ce qui marche ?
• Qu’est-ce qui bloque ?
• Où est l’opportunité immédiate ?
Clarté rapide. Impact immédiat.
🔸 5. La matrice impact / effort
Parce que tout ne mérite pas ton énergie.
Ce modèle, je l’utilise pour tout : roadmap, semaine, priorisation.
Tu veux aller vite ?
Va vite… sur ce qui change vraiment la donne.
👉 Quand la pression monte, les leaders médiocres paniquent.
Les bons leaders improvisent.
Les grands leaders, eux, ont un système de pensée.
Pas des outils.
Des réflexes.
Des cadres de décision qui protègent la lucidité dans le chaos.
Et c’est là que tu gagnes la guerre.
🔁 Si tu construis une entreprise et que tu refuses de piloter à l’instinct,
partage ce post à un fondateur ou CEO exigeant.
Et suis-moi,, pour des contenus à la croisée du leadership, des décisions stratégiques et du facteur humain. »