Ce n’est pas celui qui a raison qui gagne la négociation.
C’est celui qui ose poser le cadre émotionnel.
Tu peux avoir les meilleurs arguments du monde…
Si l’autre te fait douter de ta propre légitimité, tu perds.
En face, il suffit d’une phrase bien placée :
👉 “Donc vous dites que je mens ?”
👉 “C’est votre parole contre la mienne ?”
👉 “C’est comme ça que vous traitez vos clients ?”
Et là, beaucoup reculent.
Pas parce qu’ils ont tort.
Mais parce que l’émotion a pris le dessus.
En négociation, tout ne se joue pas sur Excel.
Ce qui fait basculer une décision, c’est rarement la logique.
C’est la manière dont tu tiens le cadre, même sous pression.
La vraie posture, ce n’est pas d’écraser.
C’est de rester droit, même quand l’autre tente de t’intimider.
Et ça, ça se travaille.
🔁 Si ce post t’a parlé, partage-le à quelqu’un qui pense que la négociation, c’est juste une affaire de chiffres.
Suivez-moi, Tristan Ebel, pour d’autres contenus à la croisée du leadership, de la négociation et du bon sens.