The Little Book of Coaching | le petit livre du coaching

Little Book of Coaching

Quel meilleur ouvrage pour parler de Leadership que celui de Don Shula écrit avec Ken Blanchard : The Little book of coaching ?

 

Qui sont les auteurs ?

Don Shula est le coach des Miami Dolphins. C’est lui qui a réussi à faire gagner 300 matchs d’affilés et le Superbowl. C’est le record du record en matière de football américain. Kenneth Blanchard et un professeur à Harvard qui travaille sur le management.

Ce livre c’est le condensé d’un coach de sport et effectivement d’un professeur de management. Ce qui est intéressant c’est de se demander comment ça s’utilise ? Ca s’utilise pour corriger le leadership.

Quels sont les points essentiels ?

Aujourd’hui nous allons aborder 2 points clés de cette méthode :

La force de conviction

Little book of coaching nous dit : « Les leaders efficaces se battent pour quelque chose ».

Si on n’a pas de vision, si on n’a pas d’idée, s’il n’existe pas de véritable challenge il n’y pas de direction donnée à l’équipe. Or, s’il n’y a pas de vision, le leader n’amène pas les gens à se dépasser.

Ensuite le livre dit : « Le problème avec les leaders c’est qu’ils ne se battent pas pour quelque chose. Or, le leadership implique un mouvement vers quelque chose. Un sens de direction. »

C’est important ! Si on ne donne pas une vraie direction aux équipes pour aller dépasser quelque chose ou gérer les obstacles ça ne fonctionne pas.

La perfection

Une 2ème chose dont parle le livre est le « Overlearning » c’est-à-dire la sur-pratique. Il dit : « la perfection arrive quand les mécaniques deviennent automatiques ».

Tel est le but : arriver à un tel stade où le niveau de perfection est vraiment très élevé.  La pratique ne rend pas les gens parfait, c’est la parfaite pratique qui rend les gens parfaits.

D’où l’idée d’avoir un type d’entraînement, un type d’exercice ou un type d’application qui est à un niveau d’excellence et d’exigence très élevé qui puisse amener à vos équipes le niveau de perfection attendu.

Tristan Ebel