Le jour où j’ai arrêté de vouloir tout contrôler…
c’est le jour où mon équipe a commencé à performer pour de vrai.
Au début, je pensais que mon rôle, c’était d’être partout.
Tout valider.
Tout surveiller.
Tout décider.
Parce que si je lâchais, tout allait partir en vrille.
Du moins, c’est ce que je croyais.
En réalité, ce que je faisais,
c’était étouffer leur autonomie… et m’épuiser tout seul.
Je confondais leadership et omniprésence.
Et puis un jour, j’ai réalisé que le vrai pouvoir, ce n’est pas d’avoir le dernier mot.
C’est de donner aux autres les moyens d’agir sans toi.
Alors j’ai changé ma posture.
J’ai commencé à poser des questions au lieu de donner des réponses.
À déléguer vraiment, pas juste à confier des tâches.
À faire confiance, même si je n’aurais pas fait pareil.
Et à accepter qu’il y ait plusieurs bons chemins, pas qu’un seul.
Résultat ?
Des gens qui prennent des initiatives.
Des idées auxquelles je n’aurais jamais pensé.
Et surtout… une équipe qui avance même quand je ne suis pas là.
Parce qu’un bon leader ne crée pas de dépendance.
Il crée des repères.
Des règles du jeu claires.
Et un terrain où chacun peut s’élever.
Tu veux vraiment évaluer ton leadership ?
Regarde ce que ton équipe devient quand tu n’es pas dans la pièce.
Et demande-toi :
→ Est-ce qu’ils osent ?
→ Est-ce qu’ils décident ?
→ Est-ce qu’ils progressent… même sans moi ?
Si la réponse est oui,
tu ne perds pas le contrôle.
Tu gagnes en impact.