Il existe un burn-out dont personne ne parle.
Celui qui travaille encore… mais qui n’y croit plus.
Il ne crie pas.
Il ne pleure pas.
Il ne baisse pas la tête.
Il avance.
Silencieusement.
Sur le papier, tout va bien :
→ Présent.
→ Poli.
→ Professionnel.
→ Toujours fiable.
Mais quelque chose s’est éteint.
Il ne râle pas… mais il ne propose plus.
Il ne contredit plus… mais il ne s’implique plus.
Il ne démissionne pas… mais il est déjà parti intérieurement.
Ce burn-out-là est le plus dangereux.
Parce qu’il ne fait aucun bruit.
Il ne bloque pas la machine.
Il la vide de son énergie, jour après jour.
Et surtout :
Il passe sous les radars des managers qui ne regardent que les chiffres.
👉 On ne le prévient pas avec une prime.
👉 On ne le repère pas dans un KPI.
👉 On ne le soigne pas avec une table de ping-pong.
Ce burn-out silencieux naît d’un trio : absence de confiance, manque de reconnaissance, perte de sens.
Un collaborateur désengagé n’est pas un “problème”.
C’est souvent un talent qu’on n’a pas protégé.
Un motivé qu’on a laissé glisser.
Un pilier qui n’a plus trouvé d’espace pour s’exprimer.
Tu veux prévenir ce burn-out-là ?
Commence par écouter ceux qui ne parlent plus.
Ce sont eux qui livrent le vrai diagnostic d’une culture d’équipe.
🔁 Si ce message t’a parlé, partage-le à un manager qui veut réellement prendre soin de ses équipes.
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