Ce collaborateur que j’allais perdre (et ce qui l’a retenu)
Il avait tout pour partir.
👉 De la valeur.
👉 Des opportunités ailleurs.
👉 Et, soyons honnêtes, des raisons valables d’être frustré.
À cette époque, je gérais mal mes priorités.
Beaucoup de pression.
Beaucoup d’urgences.
Et j’avais cessé de lui donner ce qu’il attendait le plus :
de l’écoute.
Pas un salaire.
Pas une promotion.
Juste… un vrai cadre de progression.
Un jour, il vient me voir :
“Je pense qu’il est temps pour moi de passer à autre chose.”
Je l’écoute. Je l’entends.
Et je lui pose une question toute simple :
👉 “Qu’est-ce qu’il te manquerait pour avoir envie de rester ?”
Sa réponse m’a marqué :
“Pas grand-chose. Juste la sensation qu’on continue de me faire progresser.
J’ai pas besoin de confort. J’ai besoin de cap.”
Ce jour-là, j’ai compris qu’on ne perd pas les meilleurs parce qu’on les paie mal.
On les perd parce qu’on les laisse stagner.
Parce qu’on arrête de les challenger intelligemment.
Parce qu’on oublie de leur montrer qu’on croit en eux sur la durée.
Alors j’ai changé ma posture.
→ Je lui ai proposé un vrai plan de développement.
→ Je l’ai intégré à des sujets plus stratégiques.
→ Et surtout, je suis redevenu un manager présent.
Il est resté.
Pas parce qu’on lui a offert un bonus.
Mais parce qu’il a senti qu’ici, il pouvait encore grandir.
👉 Un collaborateur ne quitte pas une boîte.
Il quitte un projet dans lequel il ne se reconnaît plus.
Le rôle du leader ?
Faire en sorte que le meilleur projet pour lui… soit encore ici.
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Suis-moi,, pour plus de récits à la croisée du leadership, de l’humain et de la progression.




